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réemploi en architecture tecknok

Le réemploi en architecture .

 

Marqué par le manque d’énergie, la hausse des coûts, et l’ouverture des perspectives écologiques, le XXIe siècle voit croître de nombreux changements dans la construction notamment, et commence à produire du neuf avec du vieux. Le réemploi de matériaux en architecture est un exemple saisissant de cette nouvelle tendance éco-responsable, économique, et esthétique à la fois. Gros plan sur le réemploi en architecture.

 

Qu’est-ce-que le réemploi en bâtiment au juste ?

Réemployer des matériaux dans le domaine de la construction, c’est créer de nouvelles bâtisses avec des matériaux qui ont déjà été utilisés, et qui ont été récupérés. On parle alors de déconstructions, et non plus de démolitions. La réutilisation de terre, de pierre, ou encore de portes ou d’encadrements de fenêtres, est propice à la construction sans déchets et sans gâchis.

En effet, l’eau et l’électricité utilisées dans le cadre du recyclage constituent des ressources très importantes dont on constate déjà les limites en 2018. Le principe du réemploi dans l’architecture consiste à économiser les énergies et les matériaux en général, de manière à adopter une attitude éco-responsable et à trouver des alternatives aux problématiques des ressources vitales et de la pollution.

Concrètement on observe plusieurs cas de réemploi des matériaux, décryptés par AMC Archi (qui travaille sur cette démarche depuis 2009) :

  • la réutilisation : on récupère une porte, qui restera une porte dans le nouveau bâtiment;
  • le réemploi : cette porte devient la partie d’une façade du bâtiment (voir le Pavillon Circulaire, installé devant l’Hôtel de Ville de Paris pour la COP 21);
  • le recyclage en panneau de particules.

Une mesure bientôt nécessaire

Selon la directive européenne de décembre 2010 sur les déchets, ce seront 70% des matériaux qui devront être recyclés d’ici 2020. Il s’agit, au regard de l’accroissement de la pollution, de la raréfaction des matières premières, et du sérieux tout relatif

quant au recyclage des matériaux, d’une mesure inhérente à la sauvegarde de la planète, mais aussi à la bonne poursuite des projets architecturaux.

Cette démarche est largement encouragée par l’Union Européenne, dont le siège, terminé en 2016, bénéficie d’une façade constituée de plus de 3000 châssis de fenêtres issus du réemploi.

 

 

Une démarche d’avenir, reflet de la maturation des sociétés.

De plus en plus concernées par les problématiques environnementales, de nombreuses sociétés travaillant dans les métiers du bâtiment s’engagent à adopter la démarche du réemploi.
Chez Adesol Groupe, nous avons voulu prendre ce virage et nous nous engageons à réduire notre empreinte environnementale avec l’implication de chaque collaborateur, de nos fournisseurs et de nos clients.
Comment ? En recyclant systématiquement les chutes, et en sélectionnant les moyens de transport les moins polluants possibles. Ajoutant à cela une politique environnementale interne qui comprend, la réduction de n

otre consommation d’électricité et de papier, ainsi qu’une attention toute particulière portée sur la réelle utilité des déplacements par voie routière ou aérienne.

 

 

 

En faisant preuve d’un engagement envers la gestion environnementale, nous souhaitons coller au plus près des aspirations écologiques et économiques de l’UE.
Chez ADESOL Groupe, chacun est conscient qu’il est de son devoir de porter la responsabilité de l’impact environnemental devant les générations futures.